Mais il existe une infinité de situations moins formelles, dans lesquelles, pour des raisons d'organisation ou de budget, on ne demande pas tout au prestataire. On peut par exemple se baser sur un parc matériel déjà existant qu'on souhaite utiliser pour réduire les coûts de location, on peut vouloir faire participer les bénévoles de l'association à la sonorisation ou à l'installation des groupes sur le plateau, etc.

C'est généralement synonyme de bonne volonté et de bienveillance. Mais, attention à ne pas oublier que les artistes qui vont se produire sur scène sont des êtres humains! De mauvaises conditions techniques pour la réalisation de leur prestation peuvent non-seulement conduire à un mauvais concert, mais c'est surtout un très mauvais moment à vivre pour eux, aux yeux de tout le monde, et ça peut être franchement traumatisant.

L'enfer est pavé de bonnes intentions...

Le contenu est assez souple car je l'adapte pour chaque intervention. Il est même envisageable de faire toute ou partie du contenu en ligne. Mais c'est alors plus axé sur la réglementation génerale de l'organisation de concert, que sur l'accueil plateau à proprement parler.

Il s'agit généralement d'interventions d'une ou deux journées, selon les possibilités de chacun. Pour un déroulement idéal il vaut mieux éviter les groupes importants. Une douzaine de personnes est un maximum, sauf si celles-ci sont très rigoureuse dans l'attention qu'elles portent. Un groupe de six à dix personnes est généralement idéal en terme d'efficacité.

Je peux fournir moi-même le matériel nécessaire, et en facturer la location.

Bien qu'il s'agisse d'intervention auprès de non-professionnels, je les sensibilise avec le même niveau d'exigence, notament en terme de sécurité au travail, et c'est très apprécié.